• Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella

    Deux Bouts d'histoire inspirés du roman Girl Online de Zoe Sugg alias Zoella

    Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella

    Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella

    Hello Everybody !

    Allons tout de suite dans le vif du sujet. Normalement, je n'étais pas censée écrire de Bout d'histoire jusqu'après Bac, mais voilà, j'ai lu le livre de Zoe Sugg aka Zoella, une youtuber et blogueuse, qui à réussi à publier son livre Girl Online. Je vous avoue qu'avant avoir lu ce livre, je ne la connaissais pas du tout du tout. D'ailleurs, je ne la connais toujours pas. J'ai juste lu son livre. Et comme on n'est pas sur un blog de critique littéraire, je ne ferai aucun commentaire. A vous d'aller le lire.

    Par contre, son petit roman m'a effectivement donné quelques idées. J'ai donc décidé de faire deux Bouts d'histoire. Par contre, je ne me voyais pas les mettre dans deux articles différents. Ils sont comme liés (Même s'ils ne le sont pas du tout !). Donc oui, vous avez bien compris, aujourd'hui je vous met deux Bouts d'histoire. On va dire que c'est pour encourager ceux qui passe le Bac ou ceux qui sont en révision du Bac Français et du Brevet ! Good Luck Everybody !

    J'espère que ça va vous plaire et que ça va vous détendre pendant ce mois de stresse ! ;) (D'ailleurs, pour ceux qui stresse vraiment beaucoup, j'espère que cette chanson vous fera un peu rire : Big Bottle - Stress Come On !)

     

    On pourrait considérer le premier Bout d'histoire comme une sorte de scène alternative à la vrai histoire :

    Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella

    La porte s’ouvrit et Megan sursauta. D’un bond, elle se leva du canapé sur lequel elle patientait depuis plusieurs minutes.

    Il entra dans l’appartement et claqua la porte derrière lui. Il la repéra du premier coup d’œil, mais ce n’est pas comme s’il pouvait vraiment la rater.

     - Qu’est-ce que tu fais ici ? s’exclama tout de suite Eliott.

    Ses yeux étaient emplis de fureur. Megan resta figée. Alors qu’elle avait prévu des dizaines de réponses à cette question, face à lui, elle était muette.

    Il approcha d’un pas, puis d’un autre et elle recula d’autant.

     - Comment tu es entrée ?

    Son ton s’était élevé et il criait presque. Mais Megan pouvait répondre à cette question :

     - Le concierge… commença-t-elle timidement.

    Il la coupa tout de suite d’un rire amer.

     - Le concierge, répéta-t-il.

    Il donnait l’impression qu’il ne la croyait pas. Le seul point positif, c’est qu’il ne criait plus.

     - Pourtant, j’étais sûr de lui avoir demandé de ne pas ouvrir aux moches.

    Il laissa alors tomber son sac au sol et ses clefs sur le comptoir de l’entrée.

     - Eh ! protesta-t-elle.

    Il releva les eux vers elle, presque surpris qu’elle réagisse.

     - Quoi ? Parce que tu te crois belle avec ces yeux tout bouffis ? Tu as encore pleuré ?

     - Arrête, dit-elle.

     - Oh, et si on parlait de tes cheveux, continua-t-il sans l’écouter. T’as toujours été complexée. Tu penses que tu ressembles à un mouton avec toutes ces boucles ? Eh ba, devines quoi, tu as raison.

     - Arrête !

    Il se rapprocha encore d’elle et Megan se cogna au comptoir de la cuisine en faisant un pas en arrière. Elle eut un hoquet de surprise.

     - Et si on parlait de tes kilos en trop ?

     - Arrête ! Arrête ! cria-t-elle.

    En deux enjambés, il traversa l’espace qui les séparait. Il plaça une main de chaque côté d’elle sur le comptoir, elle ne pouvait plus s’échapper. Ils étaient tellement proche qu’ils se touchaient presque.

     - On peut aussi critiquer tes lèvres bien trop pulpeuses.

     - Arrête !

    Elle abattit son poing sur sa poitrine.

     - Arrête ! répéta-t-elle encore.

    Et elle abattit son deuxième poing. Cependant, ça ne faisait aucun effet et Eliott ne bougeait pas d’un millimètre. Megan n’était même pas sûre qu’elle voulait vraiment avoir une réaction. Les larmes apparurent d’un coup et commencèrent à couler sur ses joues. Ses pleures redoublèrent quand elle croisa son regard. Même après l’avoir mise dans cet état, il était toujours aussi énervé. Il n’y avait aucune lueur de compassion dans ses yeux.

     - Et puis, on peut aussi dire beaucoup de chose sur…

     - Arrête ! le coupa-t-elle d’un ton autoritaire. Toi non pus tu n’es pas parfait ! Tu as une tonne de défauts ! Tu…

    Et avant qu’elle ne puisse en dire plus, il emprisonna sa bouche d’un baiser. Megan y répondit tout de suite, presque instinctivement, elle ne pouvait pas faire autrement. C’était comme son oxygène.

    Elle attrapa son T-shirt, l’attirant à elle. Ses mains remontèrent alors jusqu’à son cou, s’y accrochant de toutes ses forces. Elle les passa ensuite dans ses cheveux les ébouriffant dans tous les sens.

    Quand ils se détachèrent, elle retomba sur ses pieds. Megan ne s’était même pas rendu compte qu’elle s’était mise sur la pointe des pieds pour répondre à ses baisers.

    Elle respirait vite.

    Elle rouvrit aussi les yeux. Eliott lui n’avait pas du tout bougé. Il avait toujours les mains posées sur le comptoir de part et d’autre de ses hanches. Son regard non plus n’avait pas changé.

    Megan pensait que c’était à cause de leur dispute qu’il était aussi méchant, que ce n’était que passager. Qu’il voulait se venger de ce qu’elle lui avait fait.

    Mais à présent, elle se demandait si vraiment il ne la détestait pas.

    Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella

     

    Voilà. Je pense que ceux qui on lu l'histoire comprendrons très bien de quelle scène je me suis inspirée. En plus, j'ai gardé les même noms, même si je ne suis pas sûre que ce soit tout à fait le même orthographe... 

     

    Le deuxième Bout d'histoire est directement inspiré de la phrase : 

    « Et que je n’aurai pas à m’aventurer dans la forêt amazonienne ou dans le désert pour trouver le garçon qui me correspond ? » GIRL ONLINE de Zoe Sugg, p 237. (Oui, j'ai même mis la page !). Je me suis dis, et si effectivement on devait aller dans le désert pour trouver notre âme soeur ? Je vous présente aujourd'hui ce qui est sortie de mon imagination débordante... :

    Bouts d'histoire inspirés du roman de Zoella

    Quelqu’un arrêta Klein en lui prenant le bras. Il se retourna et découvrit un homme assis sur une caisse bois. Il avait attaché un foulard autour de sa tête pour se protéger du Soleil qui tapait bien trop fort par ici.

     - Vous savez quand est-ce qu’ils arrivent ? demanda-t-il.

     - Bientôt, assura Klein en lui serrant l’épaule, un sourire aux lèvres.

    Puis il se dégagea et continua sa route. S’il devait avoir une vraie discussion avec toutes les personnes qu’il rencontrait, il n’en aurait jamais fini. Ici, tout le monde cherchait à être rassuré.

    Il accéléra le pas et se retrouva bien vite à l’entrée du camp. Non, ce n’était plus un camp. Il y a deux ans, quand ils étaient arrivés, oui, on aurait pu qualifier leurs habitations de camp. Mais aujourd’hui, c’était une ville qu’ils avaient réussie à créer. Klein ne savait même pas comment il allait faire pour s’habituer à dormir et vivre autre part qu’ici. C’était tout sa vie. Il sourit en pensant qu’il s’était fait la même réflexion en arrivant ici avec ses hommes et ses femmes.

    Il repéra alors son second qui s’approchait de lui.

     - Ils arrivent bientôt ? demanda Klein.

    Mais lui  ne cherchait pas à être rassurer. C’était juste pour avoir une indication.

     - Ils ne devraient plus tarder à présent, répondit son second.

    Klein remarqua alors qu’il sautillait d’un pied sur l’autre, excité.

     - Tu es content de rentrer ?

     - Très. Ça fait deux ans que je n’ai pas vu ma femme, ni mes enfants…

    Klein fronça les sourcils. Ça faisait deux ans qu’ils vivaient presque quasiment ensemble, et il ne savait même pas qu’il avait une famille.

     - Ah, je ne savais pas.

    Son second lui fit un sourire qui signifiait que ce n'était pas grave. Klein comprenait à présent pourquoi il ne voulait pas quitter cet endroit, au milieu du désert. Tous ces gens avec lui avaient tous des personnes chères qui les attendaient au pays. Lui n’avait personne.

     

    Liz s’approcha de la grande baie vitrée à l’avant du vaisseau spatiale. Elle pouvait ainsi admirer la vue qui n’avait presque pas changé depuis qu’ils étaient au-dessus du désert.

     - On arrive bientôt ? demanda-t-elle au pilote à côté d’elle.

     - Oui, dans quelques minutes. Vous devriez aller vous préparer pour poser pied à terre.

     - D’accord, dès que j’aurai vu le camp.

    A peine avait-elle dit cela qu’elle put voir quelque chose changer à l’horizon. Des habitations apparurent soudainement. Liz plissa les yeux. Mais c’était encore trop loin pour qu’elle puisse distinguer clairement ce que c’était.

    Le vaisseau continuait encore sa course et Liz pu apercevoir ce qui l’avait surprise : elle s’attendait à découvrir des tentes plantées au sol, cependant, c’était de petites maisons en bois qu’on voyait au loin. Comment avaient-ils fait pour construire ces maisons ? Il n’y avait aucun arbre autour d’eux pour les approvisionner. C’était grâce aux bois qu’ils avaient emportés avec eux il y a deux ans ? Ils en avaient eu assez pour bâtir une maison à tout le monde ?

    A présent, Liz voulait atterrir le plus vite possible pour découvrir de plus près ces habitations et parler à leur chef. Si elle se souvenait bien, son nom était Klein.

    Elle se dépêcha de descendre sur le pont inférieur sautant au passage quelques marches du petit escalier. Il y avait déjà des personnes devant la grande porte qui pouvait laisser passer un autre vaisseau s’il était un plus petit. Son patron était devant, à côté se tenait son second direct, autour d’eux des dizaines de médecins qui se précipiteraient sur les survivants dès que la porte s’ouvrirait, attendaient, impatients.

    Liz s’approcha de son supérieur.

     - Ah ! s’exclama-t-il en la voyant, on n’attendait plus que vous. Ça ne va pas tarder à présent.

    Effectivement, deux ou trois minutes après, ils purent ressentirent les secousses dues à l’atterrissage, mais bien campés sur leurs jambes, personne ne perdit l’équilibre.

    Une fois le vaisseau totalement stoppé, le second direct s’avança vers la porte et appuya de toutes ses forces sur le gros bouton rouge du tableau, à droite.

    La porte s’ouvrait en fait vers le bas, et elle commença lentement sa descente. Le ciel bleu, sans aucun nuage, apparu en premier. Le Soleil était au zénith. Puis Liz découvrit le haut des maisons en bois, puis le visage des personnes qui les attendaient et enfin tout leur corps.

    Liz suivit son chez quand il s’avança sur la porte qui était à présent en pente. Dehors, un vent fort faisait tournoyer le sable et empêchait Liz de voir clairement. Ses cheveux s’échappaient de sa tresse.

    Elle plissa les yeux pour mieux voir. Plusieurs personnes les attendaient, la plupart des hommes. Pour l’instant, aucun n’osait s’avancer.

    Quand leur regard se croisèrent.

    C’était Klein, aucun doute. Elle l’avait reconnu depuis les photos qu’elle avait vues sur sa fiche. Et puis, c’était celui qui avait l’air d’être le plus sûr de lui. C’est lui qui s’avança en premier.

    Cependant, il y avait quelque chose dans son regard. Quelque chose de différent, qu’elle n’avait vu chez personne d’autre.

    Quelque chose qui fit lui fit rater un battement de cœur.

     

    Le vaisseau en atterrissant avait soulevait beaucoup de sable et ils avaient été obligés de fermer paupières s’ils ne voulaient pas en avoir dans les yeux. Ainsi fait, ils n’avaient pas pu voir la porte s’ouvrir. Par contre, ils entendirent très bien le bruit sourd qu’elle fit quand elle tomba au sol. Klein rouvrit les yeux. Une douzaine de personne les observait sans bouger.

    Celui qui était le plus en avant devait être leur chef. Il y avait deux autres personnes à ses côtés, un homme et une femme. Klein resta un peu trop longtemps à observer la jeune femme. Puis ses yeux découvrirent la dizaine de médecins qui se tenaient derrière eux. Leur chef fit alors un signe de la main et ils marchèrent sur la terre ferme pour venir en aide au plus mal en point. Mais heureusement, personne dans le camp n’avait une maladie mortelle. Sur les derniers jours, ils avaient peut être manqué d’eau et de nourriture, mais ils avaient survécu ces deux ans sans propager aucune épidémie. Ce qui était assez rare dans ces conditions et peut être une première depuis le commencement du programme.

    Klein s’avança alors vers le chef et ses deux subordonnés qui n’avaient pas bougé. Il croisa le regard de la jeune fille qui le déstabilisa sans qu’il sache pourquoi, puis il revint vers le chef.

    Ce dernier tendit une main que Klein serra volontiers.

     - Combien de mort ? demanda-t-il sans aucun préambule.

    Klein s’y attendait.

     - Vingt-deux. Mais presque autant d’enfants sont nés.

    La jeune femme eu un cri de surprise. Klein la regarda en fronçant les sourcils. Oui, c’était une réussite. La mission était un succès, mais son supérieur, lui n’avait pas réagi.

     - Très bien, on vous laisse dans les mains du capitaine Liz. On va voir cela de plus près.

    Klein hocha la tête. Le supérieur ainsi que son second partirent en direction de la ville. Lui, il n’avait pas détaché les yeux de ceux de Liz.

     

    Klein et Liz restèrent longtemps ainsi, sans parler, à se regarder dans les yeux. Ce n’était pas un défi, pour savoir qui baisserait les yeux en premier ou qui briserait le silence en premier. Ils étaient juste intrigués l’un par l’autre. En fait, ils ne comprenaient même pas pourquoi.

    Klein se racla alors la gorge, trouvant soudain la situation quelque peu gênante. Mais il ne détourna toujours pas les yeux.

    Il ouvrit alors la bouche pour parler au moment où Liz faisait de même.

    C’était peut-être idiot, c’était bête en fait. On ne posait pas cette question la première fois qu’on se rencontrait. D’abord, on se présentait, on sortait quelques phrases de politesses. Mais c’est ce qu’ils voulaient savoir en premier, comme si c’était vital. De toute façon, chacun connaissait déjà le nom de l’autre.

    En fin de compte, ils ne surent jamais qui posaient la question en premier :

     - Est-ce que vous croyez aux âmes sœurs ?

     

    Et c'est fini pour aujourd'hui ! (Mais vous en avez eu beaucoup quand même, hein ! ;)). J'ai écrit ces deux Bout d'histoire pendant que je regardais un manga (Ça change de d'habitude, pas vrai ? Mais à vrai dire, j'ai plus cours en ce moment... Faut réviser le Bac, les gars !). Donc, pour le deuxième Bout d'histoire, les noms viennes directement du manga. Sword Art Online II pour ceux qui veulent tout savoir. Je voyais bien une petite histoire d'amour entre Klein et Liz (Je l'ai pas encore fini, donc si il se passe effectivement quelque chose, merci de ne pas spoiler). Pour ceux qui ne connaisse pas, je conseille fortement.

     

    Sur ce, et après vous avoir donnez plein de conseils, je vous laisse !

     

    G.

     

    « La Voiture du ConcessionaireLe Loup »
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    1
    Jeudi 18 Juin 2015 à 00:16

    Bon courage pour le Bac !

    2
    Jeudi 18 Juin 2015 à 11:04
    Merci :)
    3
    fabrice
    Samedi 5 Mars 2016 à 15:04

    si ca vous interresse je suis en train d ecrire un scenario de film post apocalyptique ecologique

    a plus 

    fab

      • Samedi 5 Mars 2016 à 21:05

        C'est-à-dire ?

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :