Maddy se réveille chez elle en sursaut. Sa femme de chambre la prévint que quelqu'un l'attend en bas à cette heure matinal, Maddy est intriguée et veut tout de suite aller la voir...

Ok, ça fait trois fois que je le refais cet article ! Et je vous avoue que ça commence à me gaver ! Ça fait deux fois que tout s'est éteint et que j'ai dû tout recommencer ! Et le pire dans tout ça, c'est que je n'ai toujours pas trouvé d'image ! (Même si quand vous allez lire ça, vous en aurez une...)

Ok, donc dans le premier article que j'ai fait, je racontais plein de truc, comme le fait que je suis enfin revenue au bout d'une semaine, peut être deux d'absence (J'ai pas compté). C'était les vacances, donc.... Et que je compte sur vous pour répondre au Sondage !

Maintenant, le Bout d'histoire :

Maddy se réveilla en sursaut. Elle avait la respiration haletante, et ses cheveux d'or trempés de sueur. Elle avait dû faire un cauchemar, elle ne s'en souvenait pas.  

La jeune fille s'accouda et prit un grand verre d'eau posé sur sa table de nuit et bu une gorgée. Puis, soupira un bon coup. 

Quelqu'un tapa alors à sa porte : 

- Mademoiselle, vous êtes réveillée ? 

- Oui. 

Une femme de chambre entra alors : 

- Vous avez bien dormit ? demanda-t-elle en se précipitant vers les rideaux pour les ouvrir et faire entrer la lumière du jour dans la pièce. 

- Oui, et vous, Marie ? 

- On ne me paie pas pour que je raconte mes petites histoires. 

Maddy sourit en se levant. 

- Vous répondez toujours ça, mais j'aimerais bien avoir la réponse ! 

La femme de chambre lui rendit son sourire. 

- Vous devriez vous dépêcher, quelqu'un vous attend en bas. Avez-vous besoin d'aide pour vous déshabiller ? 

- Non, merci. Qui m'attend en bas ? demanda-t-elle en fronçant les sourcils. 

- Je ne sais pas, il n'a pas voulu me dire son nom. Il ne veut parler qu'à vous. Je vais préparer l'eau chaude, on se rejoint dans la salle de bain. 

Maddy hocha la tête. Quand sa femme de chambre ferma la porte, elle commença à enlever son pyjama : une simple chemisette. Et ses sous-vêtements. Puis, elle ouvrit la deuxième porte de sa chambre qui donnait, justement, sur une salle de bain. 

Marie était là, en train d'adapter l'eau, quand elle la vit, elle leva la tête et dit : 

- C'est prêt. 

Maddy fit un chignon avec une vitesse surprenante dont elle seule avait le secret et s'enfonça alors dans l'eau de sa baignoire. 

- Marie, il est tôt, non ? 

- Affirmatif, mademoiselle. 

- Qui peut venir aussi tôt ? 

- Je ne sais pas, mademoiselle. 

- Qu'en pense Père ? 

- Il n'est pas encore réveillé. 

Maddy fut étonnée. 

- Père ne s'est pas encore levé ? 

- Non. 

- Mère non plus, j'imagine. 

- En effet. 

- Mais alors qui est cette personne ? 

- Je ne sais toujours pas, mademoiselle. 

Maddy se mordit la lèvre inférieure. 

- Il faut que j'aille voir. 

Puis elle sortit de sa baignoire toute dégoulinante d'eau. 

- Mademoiselle ! cria Marie. Vous n'êtes pas encore savonnée, vous ne pouvez pas sortir ! 

- Marie, si je veux sortir, je sors. Venez plutôt m'aider à m'habiller ! 

- Euh... d'accord ! 

La femme prit une serviette qu'elle mit autour de la poitrine de la jeune fille. Puis Maddy retourna dans sa chambre et choisis une tenue à mettre. Ce matin, elle opta pour une tenue dans le violet. Oui, elle aimait bien. 

Marie l'aida à enfiler tout le vêtement, plus quelques accessoires. Elle put enfin descendre accueillir son invité. 

La jeune fille commença à descendre les grands escaliers avec grâce : le dos bien droit, le tête haute, sa main suivant doucement le rambarde. Étrangement, son invité ne l'attendait pas dans le petit salon à côté de l'entrée, mais dans l'entrée. Maddy pu le voir. Il était d'une élégance sans pareille. Une belle tenue, un beau costume, une superbe canne ! Mais il était de dos et Maddy ne pouvait voir son visage. 

Bizarrement, son cœur se mit à battre plus vite. Elle se demandait bien qui pouvait se cacher derrière cette posture. En fait, elle avait même peur de le savoir. Elle arriva enfin en bas, il ne s'était toujours pas retourné. 

- Excusez-moi... fit-elle quand elle fut à quelques mètre de lui. 

Il se retourna enfin. Son cœur rata un... non, plusieurs battements. 

Voila, voila ! J'espère que ça vous plait ! 

Je suis un peu presser, donc à la prochaine fois ! :) 

G.